Stéphane François
La Nouvelle Droite a-t-elle changé ? Non, répond l’historien Stéphane François en présentant le parcours idéologique d’Alain de Benoist et le “gramscisme” de cette mouvance, à l’origine de nombreuses confusions politiques à l’œuvre.
La Nouvelle Droite est l’une des écoles de pensée les plus intéressantes du paysage politique de la droite radicale française. Du fait de sa longévité (elle est née en janvier 1968, bien qu’elle ne fût pas alors connue sous ce nom), elle a connu plusieurs évolutions, voire plusieurs renouvellements de sa doctrine. Aujourd’hui, ses théoriciens refusent toujours le libéralisme politique d’essence anglo-saxonne, l’héritage des Lumières ainsi que le modèle occidental qui en découle et défend un ethno-différentialisme au nom du droit des civilisations à rester elles-mêmes.
La question identitaire
L’intérêt pour la question identitaire est présent dès ses origines. N’oublions pas que l’acronyme GRECE signifie, suivant les époques, « Groupe de Recherches et d’Études de la Civilisation Européenne » ou « Groupe de Recherches et d’Études pour la Civilisation Européenne ». Malgré les variations, l’idée reste la même : définir et préserver une civilisation européenne, l’aryanisme des années 1930 étant remplacé par une approche culturelle et raciale.
En effet, la quête d’une ethnie européenne est une constante chez un Alain de Benoist, comme le montre le numéro 68 de Nouvelle École, paru en 2019, consacrée à la « Paléogénétique des Indo-Européens »[1]. Ainsi, en 2016, Éléments, le magazine de la Nouvelle Droite, a consacré un dossier aux « Origines de l’homme », dont le sous-titre est « le mythe du berceau unique ». Alain de Benoist, sous l’anagramme de « Bastien O’Daniéli », l’ouvre avec un article au titre explicite : « La théorie “Out of Africa” en débat : et si l’origine d’Homo Sapiens était multirégionale[2]. » Il y postule également l’idée de l’origine européenne du premier homme, ainsi que celle de races humaines, mettant en avant le fait que les Européens ont de l’ADN d’Homme de Neandertal, au contraire des Africains. En effet, la thèse du polygénisme promeut l’origine multirégionale, et par conséquent « multiraciale », des différentes « races humaines ». Cette thèse, aux origines ouvertement racistes[3], fait partie des constantes de la Nouvelle Droite, depuis son apparition en 1968, et même antérieurement avec le groupuscule et la revue éponyme Europe-Action fondée en 1963 par Dominique Venner, dans lesquels nombre de futurs grécistes firent leurs premières armes.
Cependant, la Nouvelle Droite et son principal théoricien évolueront à la fin des années 1970 vers un ethno-différentialisme radical, qui masque une défense de la civilisation européenne[4], c’est-à-dire un affirmationnisme blanc masqué. Il s’agit en fait d’une vision « positive » du racisme, dans le sens où la défense de la diversité des peuples et de leurs cultures est mise en avant : elle doit être préservée à tout prix. Cet ethno-différentialisme est conçu par Alain de Benoist comme un refus du métissage, qu’il soit physique (les couples mixtes et leurs enfants) ou culturel. Concrètement, il s’agit de préserver l’identité et la pureté de la civilisation européenne. Cette extrême droite est passée de l’affirmation ethnique et des discours de la supériorité de la race blanche des premières années à sa préservation. Depuis cette époque, Alain de Benoist soutient que son ethno-différentialisme est le véritable antiracisme.
Cette obsession identitaire est particulièrement importante pour cerner la Nouvelle Droite et la possible évolution idéologique d’Alain de Benoist. Guy Bruit, l’actuel directeur de publication de Raison présente, dans un compte-rendu[5] du livre que Pierre-André Taguieff avait consacré à la Nouvelle droite[6], se demandait si Alain de Benoist avait réellement changé, malgré le renouvellement, ou le lissage plutôt, de ses références intellectuelles et l’abandon du racisme biologique. S’il y a eu d’indéniables évolutions, une constante est restée : l’obsession identitaire, sur le plan à la fois culturel et génétique. Alain de Benoist/Bastien O’Daniéli a continué a écrire sur ce dernier thème, publiant dans Éléments des brèves sur la génétique et l’archéologie européenne. Le tour de force d’Alain de Benoist est donc d’avoir diffusé ces reformulations théoriques et ethnocentriques dans d’autres tendances de l’extrême droite – ce qui est somme toute aisé –, mais aussi de les avoir rendues acceptables auprès de certains pamphlétaires ou polémistes actuels. Alain de Benoist est un passeur d’idées, mais aussi d’idéologies.
Le temps de la confusion
Dans les années 1980, Alain de Benoist a tenté de faire disparaître cette image de théoricien d’extrême droite et de l’extrême droite. En 1988, il fonde une revue indépendante de la Nouvelle Droite, Krisis, dont les pages étaient ouvertes aux personnalités de gauche (nous trouvons dans cette revue les signatures notamment d’Alain Lipietz, Gil Delannoi, Régis Debray, Jean-Luc Mélenchon, etc.). Dès la seconde moitié des années 1980, Benoist fascine certains milieux de gauche. Durant les années qui suivirent, il y eut même une tentative, avortée, de rapprochement avec l’équipe du Mouvement Anti-Utilitariste en Sciences Sociales (MAUSS). Ce rapprochement a été facilité par les thèmes communs de l’écologie, de l’anti-utilitarisme, de l’anti-économisme et de l’anti-universalisme. En 1989, Alain Caillé et Serge Latouche étaient invités à participer à Krisis[7]. En retour, Benoist fut invité en 1991 à participer au numéro 13 de La Revue du MAUSS, avec un article sur la pertinence du clivage gauche-droite[8] et à répondre dans le même numéro aux questions d’Alain Caillé[9]. Dans la foulée, Benoist publia de nouveau un article de Latouche[10]. Caillé rompt le dialogue en 1993 suite à des tentatives de récupération du MAUSS par les grécistes.
À travers une lettre ouverte à Alain de Benoist, non datée malheureusement (2003 ?), publiée sur le site de la Revue du MAUSS[11], Alain Caillé condamna non seulement la création au début des années 2000 d’un MAUSS italien fondé par des grécistes de ce pays, mais il refusa également la tentative d’Alain de Benoist de se faire passer pour un membre de celui-ci. L’édition de 1992-1993 du Who’s Who in France[12] présentait Benoist comme un membre de cette structure, ce que contestait violemment Alain Caillé. Celui-ci a également très peu apprécié de voir que Benoist, malgré ce qu’il sous-entendait aux membres du MAUSS, n’avait jamais rompu avec le GRECE, continuant à diriger Nouvelle École et à éditorialiser dans Éléments. Alain de Benoist, durant cette décennie, affirmait en effet aux universitaires et aux militants de gauche qu’il avait rompu avec le GRECE, qu’il n’en faisait plus partie depuis longtemps, ce qui est évidemment faux, puisqu’il dirige toujours Nouvelle École et qu’il continue encore aujourd’hui à éditorialiser, maintenant sous son nom (de la création en 1968 jusqu’à 2016, il utilisait le pseudonyme de « Robert de Herte »), dans Éléments, dont la ligne actuelle est ouvertement identitaire[13] : le magazine, outre les collaborateurs issus de la Nouvelle Droite, voit la participation d’Hervé Juvin et de Slobodan Despot, conseiller d’Oskar Freysinger, le fondateur de l’Union Démocratique du Centre, un parti anti-islam et populiste suisse. Les deux y tiennent une chronique.
Surtout, Alain de Benoist n’a jamais rompu avec l’extrême droite, notamment américaine. Dans notre thèse, Les Néo-paganismes et la Nouvelle Droite (1980-2006). Pour une autre approche, nous avions conclu à une sortie d’Alain de Benoist hors du champ de l’extrême droite dans les années 1990. C’était une erreur : ses prises de positions récentes – son soutien critique apporté à Marine Le Pen en 2010, l’entretien accordé à Réfléchir & Agir en 2013 (même s’il marque une distance avec ses interlocuteurs[14]), ou encore les publications, dans ses revues[15], d’articles d’auteurs très marqués à l’extrême droite, dénués de toute reconnaissance universitaire ou intellectuelle – montrent que cela n’a jamais été le cas.
Malgré cet échec, la Nouvelle Droite a continué à entretenir la confusion entre une possible évolution à gauche et un discours qui reste marqué par des positions révolutionnaires-conservatrices. Afin d’entretenir cette confusion et de continuer à attirer des intellectuels de gauche, elle intitulait en 2010 un dossier d’Éléments : « La Nouvelle Droite est-elle de gauche ? »[16]. Si Alain de Benoist insiste depuis la fin des années 1980 auprès des intellectuels de gauche sur sa rupture, toute relative, avec les milieux d’extrême droite, l’analyse des publications de la Nouvelle Droite montre qu’il n’a jamais cessé d’en faire partie. Enfin, en 2019, dans son éditorial, Alain de Benoist n’hésite plus à assumer son appartenance à l’extrême droite identitaire, incarnée par la Nouvelle Droite, soulignant la constance de ses engagements[17].
Cette stratégie, qualifiée aujourd’hui de « confusionniste », a été théorisée dans les années 1970 : il s’agissait de pratiquer l’entrisme dans les milieux d’influence. Ainsi, l’une des stratégies élaborées par la Nouvelle Droite a été d’investir la presse dès les années 1970. Les premiers liens furent tissés via l’entregent du sénateur apparenté Rassemblement Pour la République (RPR) et patron de presse, Raymond Bourgine, qui employa Alain de Benoist, François d’Orcival et même l’ancien SS Saint-Loup dans Valeurs Actuelles et Le Spectacle du Monde. Alain de Benoist, Jean-Claude Valla et quelques autres, bénéficièrent ensuite de l’appui de Louis Pauwels, le créateur du Figaro Magazine.
Un homme hyper médiatisé
Le point de convergence entre Pauwels et la Nouvelle Droite est à chercher dans le désir du premier de concilier une forme de pensée traditionnelle avec une certaine modernité et que nous retrouvons alors dans le discours du GRECE. Cependant, à la suite de la virulente campagne médiatique de 1979 contre le GRECE, il décide de se séparer, progressivement, de ses collaborateurs néo-droitiers, tout en se convertissant bruyamment au christianisme et au libéralisme économique. Durant le même temps, le groupe Hersant, dont dépend le Figaro Magazine, s’éloigne du GRECE, à la fois à cause de cette campagne mais également du fait de l’évolution doctrinale des néo-droitiers dont l’anti-américanisme et l’anti-occidentalisme choquaient les lecteurs du Figaro.
Cet entrisme devait permettre la diffusion d’une « nouvelle culture », qui ne se définissait pas encore comme « identitaire », au travers du « gramscisme », c’est-à-dire le combat idéologique par la banalisation, et l’acceptation par la population, de certaines idées élaborées dans des milieux radicaux, sorte de tentative de conquête du pouvoir par la culture. En effet, Alain de Benoist et les animateurs du GRECE, ayant découvert chez le philosophe marxiste Antonio Gramsci l’importance du combat culturel dans la prise du pouvoir par un parti politique[18], abandonnèrent à la fin des années 1960 la politique immédiate pour la réflexion doctrinale et le combat culturel (ce qu’ils appellent, à la suite de Julius Evola, la « métapolitique »). Actuellement, le gramscisme est retourné par d’anciens du GRECE ou par des disciples dans un sens identitaire, par une banalisation des thèmes racistes. L’idée, « métapolitique », était de pénétrer les milieux culturels, de créer des revues, des associations s’adressant à des catégories socioprofessionnelles différentes, et d’y diffuser et d’habituer les personnes visées aux différents contenus de leur « nouvelle culture ». Il s’agissait explicitement de mettre en place sur un temps plus ou moins long des pratiques sociales largement partagées en imposant son point de vue.
Depuis son accession à la visibilité médiatique, dans Apostrophe de Bernard Pivot le 29 septembre 1979[19], Alain de Benoist n’a jamais cessé d’être dans les médias, malgré ce qu’il peut dire dans ces mêmes médias (preuve s’il en est de la contradiction). Il n’a jamais cessé également de rencontrer et d’échanger avec les intellectuels, médiatiques ou universitaires. Ainsi, sa biographie en ligne[20] précise qu’il a été secrétaire de rédaction des Cahiers universitaires (1962-1966) ; rédacteur en chef de la lettre d’information hebdomadaire L’Observateur européen (1964-1968) ; directeur des publications du Centre des hautes études internationales (1967-68) ; rédacteur en chef adjoint de L’Écho de la presse et de la publicité (1968-69) ; directeur de la revue Nouvelle École (depuis 1969) ; collaborateur du Courrier de Paul Dehème (1969-76) ; rédacteur en chef du magazine Midi-France (1970-1971) ; critique à Valeurs actuelles et au Spectacle du monde (1970-1982) ; éditorialiste de la revue Éléments (depuis 1973[21]) ; collaborateur du Figaro-Magazine (1977-1992) ; collaborateur du « Panorama » de France-Culture (1980-1992), directeur de Krisis (depuis 1988) et enfin éditorialiste de La Lettre de Magazine-Hebdo (1991-1999). Il a été et est encore directeur de collections chez différents éditeurs : Copernic (1977-81), Labyrinthe (depuis 1982), Pardès (1989-93), L’Âge d’Homme (depuis 2003).
S’il estime être ostracisé, il n’en reste pas moins qu’Alain de Benoist est régulièrement invité sur le plateau de Répliques, l’émission d’Alain Finkielkraut comme il le fut sur celui de Ce soir ou jamais de Frédéric Taddeï, ainsi que dans les autres émissions de ce journaliste : Regarde les hommes changer sur Europe 1 ; Tête-à-tête sur France Culture ; et aujourd’hui Interdit d’interdire sur RT France. En retour, ce dernier accorde un entretien à Éléments en octobre 2019.
Il est vrai que depuis les années 1970, Alain de Benoist a tissé un réseau professionnel et amical important dans le monde des médias et des revues intellectuelles. Il n’a jamais cessé de donner des entretiens dans la presse, généraliste et spécialisée, tant en France qu’à l’étranger, comme le montre la partie consacrée à cet exercice dans la Bibliographie qu’il a publiée en 2009[22].
Si Alain de Benoist donne la quasi-totalité de ses pseudonymes (une quinzaine) dans cette Bibliographie, il omet d’en donner deux : Bastien O’Danieli, sur lequel nous sommes revenu précédemment, et surtout Mortimer G. Davidson, utilisé en Allemagne pour publier une encyclopédie sur l’art nazi, Kunst in Deutschland, parue en 4 volumes entre 1988 et 1995 chez l’éditeur néo-nazi Grabert[23], qui était aussi dans les années 1980 et 1990 son éditeur et traducteur attitré en Allemagne.
Cet auto-référencement est intéressant à d’autres titres : nous voyons que ses ouvrages ont durant longtemps été publiés par de grands éditeurs, y compris après la campagne médiatique de 1979, chez Albin Michel, Robert Laffont ou les Éditions Atlas. Nous remarquons en outre qu’il n’a jamais arrêté d’écrire ou de donner des entretiens à la presse d’extrême droite, notamment celle qui se proclame identitaire, y compris après sa supposée rupture avec celle-ci. Étonnant, non ?
[1] Nouvelle École, « Paléogénétique des Indo-Européens », n° 68, 2019.
[2] Bastien O’Daniéli, « La théorie “Out of Africa” en débat : et si l’origine d’Homo Sapiens était multirégionale », Éléments, n°150, 2016, pp. 72-77.
[3] Voir Carole Reynaud-Paligot, De l’identité nationale. Science, Race et politique en Europe et aux Etats-Unis. XIXe-XXe siècles, Paris, Presses Universitaires de France, 2011.
[4] Sylvain Crépon, « Une littérature postcoloniale d’extrême droite ? Réflexion sur un “braconnage” intellectuel », in Collectif Write Back (dir.), Postcolonial studies, modes d’emploi, Lyon, Presses universitaires de Lyon, 2013, pp. 137-149.
[5] Guy Bruit, « La droite a-t-elle changé ? », Raison présente, n° 112, 1994, pp. 119-131.
[6] Pierre-André Taguieff, Sur la Nouvelle droite. Jalons d’une analyse critique, Paris, Descartes & Cie, 1994.
[7] Serge Latouche, « Réflexion sur le “bien-être” comme concept ethnocidaire » et « L’occidentalisation du monde. Entretien avec Serge Latouche » ; Alain Caillé, « Monnaie des sauvages et monnaie des modernes », Krisis, n°4, « Société, », 1989, pp. 28-34, 35-45 et 46-51.
[8] Alain de Benoist, « Droite ! Gauche ! », La Revue du MAUSS, n°13, 1991, pp. 37-40.
[9] Alain de Benoist, « Réponses », La Revue du MAUSS, n°13, 1991, pp. 107-131.
[10] Serge Latouche, « Le raisonnable et le rationnel. Les antinomies du postulat métaphysique et de la raison économique », Krisis, n°12, « L’argent ? », 1992, pp. 34-45.
[11] Consulté le 20/04/2019.
[12] Who’s Who in France, Paris, Éditions Lafitte, 1993, p. 213.
[13] Voir le dossier du n° 180 d’Éléments, « L’identité pour quoi faire ? » Alain de Benoist, « L’identité, pour quoi faire ? », octobre 2019 : « Nous et les autres : nature et culture, l’identité en débat », pp. 74-75 ; Jean-François Gautier, « La terre ou les morts : seule compte la mémoire du devenir », pp. 76-78 ; Martin Sellner, « À l’avant-garde avec “Defend Europe” », pp. 79-80 ; Clément Martin, « Génération Identitaire, le “Greenpeace de droite” », pp. 81-82 ; Philippe Forget, « Contre les vanités identitaires », pp. 83-85. Voir aussi la réédition par François Bousquet du texte de Enoch Powell, Discours des fleuves de sang, Paris, La Nouvelle Librairie, « Préface » de Renaud Camus et « Introduction » de Jean-Yves Le Gallou, 2019.
[14] « Entretien avec Alain de Benoist », Réfléchir & Agir, n°44, été 2013, pp. 33-37. À la question « Quelle définition donneriez-vous aujourd’hui du socialisme, de “notre socialisme” ? », il répond ainsi : « Pour être franc, je ne sais pas très bien quel est le “nous” qui inspirerait ce “notre” » (page 34).
[15] Nouvelle École – les numéros 58, consacré aux Grecs (2009), 63-64, sur « Les Germains » (2014) et 65, « Les Lumières » (2016) donnent au contraire l’impression d’un retour aux années 1970. Une impression également corroborée par la lecture de la revue Krisis, dans laquelle nous trouvons des textes, par exemple, de Georges Feltin-Tracol (n° 31 -2009), Alexandre Douguine (n° 32 -2009), Jure Vujic (n° 34 -2010), Michel Drac (n° 35 -2011).
[16] « La Nouvelle Droite est-elle de gauche ? », Éléments, n°136, juillet-septembre 2010, pp. 27-48.
[17] Alain de Benoist, « Éléments mode d’emploi », Éléments, n° 176, février 2019, p. 3.
[18] Alain de Benoist, « Gramsci et la conquête du pouvoir culturel », Le Figaro dimanche, 11-12 mars, 1978, p. 19.
[19] Consulté le 21/03/2020.
[20] « Biographie d’Alain de Benoist », consulté le 21/03/2020.
[21] Il est également le principal contributeur du magazine.
[22] Alain de Benoist, Bibliographie 1960-2010, Paris, Les Amis d’Alain de Benoist, 2009.
[23] Mortimer G. Davidson, Kunst in Deutschland 1933-1945 : Eine Wissenschaftliche Enzyklopädie der Kunst im Dritte Reich, 4 vols., Tübingen, Grabert, 1988-1995.
2 Responses
[…] a été publié en 2005. Depuis quelques années, Michel Onfray s’est rapproché d’Alain de Benoist. En mars 2015, il prétend qu’Alain de Benoist a changé et qu’il « peut avoir des idées […]
[…] a été publié en 2005. Depuis quelques années, Michel Onfray s’est rapproché d’Alain de Benoist. En mars 2015, il prétend qu’Alain de Benoist a changé et qu’il « peut avoir des idées […]